Les hackers et l’esprit du parasitisme Drones civils, Google glass et dans une certaine mesure imprimantes 3D : de nouvelles technologies détestables débarquent, et beaucoup de « bidouilleurs » en soutiennent l’arrivée. Certains justifient même par des perspectives activistes ce qui apparaît – à qui s’intéresse aux mouvements réels – comme un nouvel ennemi de tout changement radical. Les drones civils se diffusent tout particulièrement : la semaine dernière, l’initiative « Hacks/Hackers » présentait dans les locaux du torchon L’Express leur intérêt supposé pour les journalistes.
Ce texte des Amis de Ludd, de 2009, dresse une critique radicale des hackers à travers celle d’un livre de référence de ce « mouvement », L’Éthique hacker de Pekka Himanen [1]. Peu d’articles existent à ce sujet. Celui-ci met le doigt [2] sur un certain rapport à la technologie, à l’information et à la société… De nouveaux textes devraient suivre, proposant d’autres pistes moins compatibles avec les différents pouvoirs et la catastrophe en cours.
